Bienvenue sur le blog Source Celtique #2 - Blog hommage, à Alan Stivell Cochevelou, retour sur les chemins de terre d'un Barde Breton..."kentoc'h mervel eget em zaotra"
Publié le 30 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans TV
Publié le 27 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Infos
Publié le 25 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Sortie film, Vidéos, Musiques
Publié le 25 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Infos
Le peintre-illustrateur breton Brucero était présent mercredi 20 avril 2022 à la Maison des Mégalithes, à Carnac (Morbihan). Il a rencontré le public et ses fans, heureux de pouvoir échanger avec le spécialiste des univers fantastiques. Rencontre.
Le peintre et illustrateur Brucero était à la Maison des Mégalithes mercredi 20 avril 2022, à Carnac (Morbihan). | OUEST-FRANCE
Le peintre et illustrateur Brucero est venu à la rencontre du public et de ses fans, mercredi 20 avril 2022, à la Maison des Mégalithes de Carnac (Morbihan). Rencontre.
Quel est votre parcours ?
Même si je suis brièvement passé par les Beaux-Arts de Rennes et de Lorient après mes études secondaires, je me considère comme un autodidacte. J’ai toujours été animé par la passion du dessin et j’ai appris en faisant. Avec, depuis ma première expérience, des dessins pour des affiches publicitaires à Pont-Scorff, l’envie et l’ambition d’être peintre-illustrateur.
Durant mes trente ans de carrière, j’ai participé à des livres thématiques ou à des couvertures. Mon premier livre, Le livre secret de Merlin, est sorti en 2007, A la recherche de la mandragore est paru en 2010 et Druiz la prophétie perdue en 2014.
Que diriez-vous de votre univers unique et complexe ?
J’ai toujours été attiré par le fantastique et la nature. Pour autant, ma première inspiration est peut-être venue du choc ressenti devant le livre Les fées, des deux dessinateurs anglais Brian Froud et Alan Lee. Il m’a scotché et sûrement porté dans ce choix de travailler sur ces univers de l’imaginaire et de la féerie, présents dans la culture celtique en général et bretonne en particulier.
Dans mes dessins, j’explore et donne vie aux univers des légendes et des contes et aux êtres qui les peuplent. Dans la création de mes dessins, je me vois un peu comme un passeur entre notre monde et celui de l’imaginaire. C’est aussi une façon d’aller vers le futur.
Avez-vous de nouveaux projets ?
Je travaille autour de deux nouvelles réalisations : un livre sur l’univers des contes, abordé d’une façon plus universelle, un vrai voyage au cœur de l’imaginaire, et sur la réalisation d’un jeu de cartes divinatoires, qui devrait sortir en 2023.
Publié le 25 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Sortie album
Publié le 25 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Sortie album
Le mois dernier, le NME, magazine britannique qui fait la pluie et le beau temps dans la sphère branchée, a consacré le quintette comme le meilleur groupe au monde.
«On va fêter ça comme au N° 10», s’est exclamé le chanteur Grian Chatten en recevant le trophée, une main couleur or au majeur dressé. Une référence au scandale des fêtes au 10, Downing Street en plein confinement que le premier ministre britannique Boris Johnson traîne comme un boulet.
Il faudra se contenter de cette saillie car l’auteur des textes des Fontaines D.C. a réduit la voilure en interview, trop enfermé à ses yeux dans le costume du leader. C’est un des deux guitaristes, Conor Curley, qui se plie à l’exercice. Mais lui aussi fait attention aux images réductrices, même si elles sont d’abord flatteuses.
Ainsi, dès la sortie de leur premier album Dogrel (2019), la presse les surnomme les «punk-poètes». Ils ne se sont pas repérés à leurs étuis de guitares à l’université mais aux couvertures des recueils de poésie empruntés. À cause de cette étiquette, Conor Curley a fait un rejet. «À un moment, je ne voulais même plus du tout lire de poésie car j’avais l’impression que les gens attendaient ça de moi», explique le musicien à l’AFP, quelques heures avant de retourner L’Olympia à Paris.
«Comme si on me tendait un Yeats en disant “Prends-le en toi”.» Le Prix Nobel de littérature en 1923 ne sera pas le seul auteur irlandais qu’il citera au cours de l’entretien. Comme quand il décrira l’état d’esprit du groupe. «Nous sommes juste des personnes ayant les mêmes idées, incroyablement romantiques en songeant à la scène de Dublin, celle des écrivains comme Patrick Kavanagh, et tous ces esprits flottant au-dessus de la ville, partageant leur création.»
«Peut-être qu’on se sent un peu hors du temps», glisse-t-il. Hors du temps mais lucide sur les écueils à éviter dans la vie d’un groupe. Il ne s’en cache pas, la pandémie a certes stoppé leur élan pour défendre sur scène leur deuxième album (A Hero’s Death, 2020) mais a empêché que la formation n’explose entre tournée marathon et fêtes à répétition.
La pause forcée puis un déménagement à Londres furent des bouées de sauvetage. «On a retrouvé un sentiment de communauté entre nous, en tant qu’Irlandais expatriés», assène-t-il. In ár gCroíthe go deo, premier titre de l’album Skinty Fia (sorti vendredi), fait référence à une histoire qui a fait grand bruit au Royaume-Uni.
Les autorités ecclésiastiques anglaises ont mis des bâtons dans les roues d’une famille qui voulait inscrire cette phrase en irlandais («dans nos cœurs pour toujours») sur une pierre tombale en Angleterre. De peur que cela ne déchaîne les passions et ne ravive les souvenirs du conflit nord-irlandais.
«Cette histoire m’a fait froid dans le dos, confie le guitariste. L’idée qu’ils pensent que la langue irlandaise soit une provocation est terriblement blessante. Ils ont voulu éradiquer cette langue que quelqu’un voulait mettre en hommage sur une pierre tombale...»
Quand ils s’installent dans les pubs anglais, les membres de Fontaines D.C. entendent souvent fleurir des mauvaises blagues sur l’IRA ou le terme «Paddy», sobriquet péjoratif désignant les immigrants irlandais. En réaction, leur album s’appelle Skinty Fia, vieille expression irlandaise — «la damnation du cerf» — utilisée comme un juron par la grand-tante du batteur quand quelque chose l’ennuyait.
La pochette du disque montre d’ailleurs cet animal, jeune et sans ses bois, dans une habitation aux murs d’un rouge inquiétant. Reflet d’un groupe qui se sent parfois étranger au monde qui l’entoure.
Publié le 24 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Manifs, Infos
Insurrection de Pâques en Irlande * Guide Irlande.com
L'Insurrection de Pâques, fait référence à une révolte irlandaise, qui s'est déroulée à Dublin en avril 1916. Aussi appelée "les Pâques sanglantes", elles ont été organisées par des gr...
https://www.guide-irlande.com/culture/insurrection-de-paques-1916/
Publié le 22 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Infos, Sport
Les Highland Games reviennent dans la cour du château de Bressuire les 11 et 12 juin 2022. Pour pallier les inceritudes liées à la crise sanitaire, l'équipe organisatrice a modifié sa formule en proposant un Open et non pas des championnats.
" C’est l’un des meilleurs spots au monde et ce n’est pas nous qui disons cela, mais les athlètes eux-mêmes ! ", assure fièrement l’ancien président de l’Association des jeux écossais en France (Ajef), Jean-Louis Coppet, le " Monsieur Highland Games ". Les célébrissimes jeux écossais reviennent les 11 et 12 juin 2022 dans un cadre toujours très apprécié, la cour du château de Bressuire.
Organiser des championnats du monde sans certitudes aurait entraîné une prise de risque financière trop grande
À l’occasion de cette 11e édition, la formule retenue par les organisateurs est quelque peu différente. " À l’époque, on ne savait pas vraiment comment la situation sanitaire allait évoluer. Nous avions encore quelques doutes et organiser des championnats du monde sans certitudes aurait entraîné une prise de risque financière trop grande. Si on annulait au dernier moment, il y avait le risque de ne pas se faire rembourser ", détaille Alain Rousselot, coprésident de l’Ajef. La version Open a donc été préférée aux championnats habituels.
Une formule ouverte aux amateurs et aux professionnels est bien moins coûteuse pour l’Ajef car les athlètes paient eux-même leur déplacement. Du côté des hommes, quatorze candidatures ont été retenues. " De l’avis général c’est sûrement l’une des meilleures affiches proposées au niveau international chez les hommes ", prévient Jean-Louis Coppet.
Et l’affiche propose un vrai match dans le match avec un duel États-Unis/Europe. De part et d’autre, les meilleurs professionnels seront à Bressuire ce week-end-là. " On va dire qu’il y aura sept lanceurs qui vont participer à un clash des géants ! ", s’emballe l’ex-président de l’Ajef.
Et l’Open ne sera pas uniquement masculin car pour la première fois, les féminines vont elles aussi pouvoir s’affronter dans ce cadre majestueux. " On ne savait vraiment pas où on allait car nous n’avions jamais eu de contacts avec les féminines ", rappelle Jean-Louis Coppet. Finalement, là encore, les organisateurs s’en sortent bien car dix athlètes seront présentes. La championne d’Europe Stéphanie Frey sera sur la ligne de départ ainsi que la Bressuiraise Gillian Kara.
L’ensemble de ces athlètes s’affronteront sous le regard de Jacques Accambray, lanceur de marteau quatre fois recordman de France de cette discipline et parrain de cette 11e édition. " J’ai décidé de parrainer cet événement car avec ma carrière de lanceur de marteau je me considère comme traditionaliste. C’est un sport qui vient des Écossais qui utilisaient à l’époque des maillets et des vrais marteaux et je suis resté dans cette tradition. Puis j’aime aussi la cornemuse ! ", s’amuse Jacques Accambray.
Et l'ancien champion du marteau ne viendra pas seul à Bressuire, il emmènera un peu d’olympisme dans ses valises. Deux athlètes olympiques français vont se mesurer à ces sportifs aguerris aux Highland Games, il s’agit d’Amanda Ngandu NTumba, 3e lanceuse française et Frédéric Dagée, spécialiste du lancer de poids et détenteur du record de France avec une marque à 20,75 m. " C’est le retour aux sources pour eux ", prévient Jacques Accambray.
PRATIQUE
Tarifs sur place : samedi 11 juin, 10 €, dimanche 12 juin, 8 €. Possibilité d'acheter un pass week-end pour 16 € sur place, 15 € sur internet. L'évènement reste gratuit pour les moins de 13 ans. L'Agglo2B met en place un service de navettes gratuites pour se rendre au château. Restauration sur place.
Publié le 21 Avril 2022 par Source Celtique #2 dans Radio
La France en moonwalk | ARTE Radio
" Il y a 20 ans j'avais 20 ans " Cette semaine, Livo revit ses vingt ans et ceux du 21 avril 2002, quand Jean-Marie Le Pen est arrivé par surprise au second tour. Du marché du ramadan à la messe de
https://www.arteradio.com/son/61671692/la_france_en_moonwalk