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☘️  Source Celtique #2 ☘️ (Since~2013)

Bienvenue sur le blog Source Celtique #2 - Blog hommage, à Alan Stivell Cochevelou, retour sur les chemins de terre d'un Barde Breton..."kentoc'h mervel eget em zaotra"

Rugby : Eire 39 - 31 Japan

Publié le 6 Novembre 2021 par Source Celtique #2 dans Sport

Rugby : Eire 39 - 31 Japan
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Rugby : Diffusion en direct Irlande vs Japon / Test Match

Publié le 6 Novembre 2021 par Source Celtique #2 dans Sport, TV

Match Irlande vs Japon, 06/11/2021

Samedi 6 novembre 2021 Coup d'envoi : 14h00 Stade : Aviva Stadium

Competition : Autumn Nations

Series Phase : poule

Rugby : Diffusion en direct Irlande vs Japon  / Test Match
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Fête des morts. En Bretagne, des pratiques anciennes rappellent celles d'Halloween (francetvinfo.fr / 31.10.21)

Publié le 3 Novembre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

Le 31 octobre c'est le jour d'Halloween, le temps où les enfants en profitent pour se déguiser et frapper aux portes pour collecter des bonbons. Bien que cette fête vienne d'Irlande, on retrouve en Bretagne des pratiques anciennes assez similaires selon l'ethnologue Fañch Postic.

 En Bretagne, on s'amusait à se faire peur en taillant des navets ou des betteraves fourragères • © J. Le Bot - France Télévisions

En Bretagne, on s'amusait à se faire peur en taillant des navets ou des betteraves fourragères • © J. Le Bot - France Télévisions

Le 31 octobre c'est Halloween, un jour où l'on aime se déguiser, se faire peur. Cette fête prend ses origines dans les pays celtiques comme l'Irlande. Là-bas, on célèbrait Samain, ce passage entre la fin de l'année et l'entrée dans une nouvelle année. Durant cette nuit, les Celtes pensaient que les frontières entre les vivants et les morts s'ouvraient. 

En Bretagne, des traditions similaires ont existé. Fañch Postic, ethnologue et spécialiste des pratiques populaires celtiques. Il a recueilli plus de 150 témoignages principalement dans le Finistère. Il évoque ces ressemblances, jusque dans la taille des légumes pour les décorations. "Dans la tradition bretonne au XIXème siècle, on avait  l'habitude d'utiliser des betteraves fourragères ou des navets qu'on creusait, dans lesquels on mettait des bougies. C'était surtout les jeunes qui faisaient cela pour faire peur. Ils attendaient les jeunes filles à un carrefour ou à une entrée de champ pour les effrayer à la nuit tombée".

Des chants de la Toussaint, de ferme en ferme

Comme pour Halloween, des groupes d'adultes allaient de maison en maison, de ferme en ferme, dans tout le sud de la Bretagne, de l'île de Sein jusqu'au pays vannetais. "Ils allaient chanter des cantiques, des chants de la Toussaint en pleine nuit, des chants assez terrifiants. On les faisait rentrer dans les maisons, on leur donnait de quoi manger. Une crêpe les attendait parfois et de l'argent, pour faire dire des messes pour les morts par la suite"

En Bretagne, il y a une familiarité avec le monde des défunts

Fañch Postic

D'autres points communs avec cette tradition celte apparaissent dans le Finistère. A commencer par le calendrier : deux saisons au lieu de quatre. La période claire qui commence le 1er mai et la période sombre qui commence le 1er novembre. C'est à ce moment qu'une porte s'ouvre vers l'au-delà. "La Toussaint c'est le moment où le monde des vivants et celui des morts 'an anaon' (les âmes, les morts ou les trépassés) communiquent. Les portes sont ouvertes pendant un certain temps. Les vivants peuvent aller voir de l'autre côté ce qu'il se passe, à leurs risques et périls. Et les défunts et autres êtres fantastiques peuvent venir dans le monde des vivants avec des intentions pas toujours louables. Donc il faut faire attention, ce sont des moments un peu dangereux". 

Si vous voulez en savoir plus, Fañch Postic recommande la lecture d'un grand classique de la littérature bretonne "La légende de la mort", d'Anatole Le Braz. 

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Du whisky contre le carbone : l'exemple des producteurs écossais (euronews.com / 01.11.21)

Publié le 1 Novembre 2021 par Source Celtique #2 dans Vidéos, Infos, Whisky

Les dirigeants du monde entier réunis à Glasgow pour la COP26 auront ces jours-ci l'occasion, pour ceux qui le souhaitent, de déguster les plus célèbres whiskies écossais.

L'un des plus prestigieux producteurs de whisky d'Écosse a cherché un moyen de réduire son empreinte carbone.

En 2018, la distillerie a abandonné les combustibles fossiles et s'est tournée vers un biocarburant à base d'huile de colza.

 
 

Callum Rew, directeur de la distillerie Oban : "On a obtenu un carburant de transition pour être neutre en carbone plus rapidement. Et on l'est depuis fin 2020. On voulait être les premiers à essayer de faire quelque chose et que les autres distilleries puissent en profiter. Le biocarburant était de nouveau et on voulait l'essayer, le tester. Ici, à Oban, nous sommes une petite distillerie, alors c'est peut-être plus facile d'essayer et de l'intégrer ici dans un premier temps."

Distiller du whisky peut avoir des conséquences sur l'environnement.

Le brassage nécessite à lui seul beaucoup d'énergie, sans compter le transport des bouteilles à travers le monde.

L'industrie a pris des mesures pour réduire cet impact environnemental.

 

Selon la Scotch Whisky Association, depuis 2009, les émissions de gaz à effet de serre ont diminué de 34 %.

Karen Betts, directrice générale de la Scotch Whisky Association : "C'est très important d'être une industrie durable dès à présent. Avec de la collaboration, de l'innovation, de l'investissement, de l'ingéniosité et un peu de temps, on peut y arriver d'ici 2040 et nous devons absolument le faire."

L'objectif zéro carbone en 2040 pour l'industrie du whisky écossais, c'est dix ans plus tôt que l'ambition globale que s'est fixée le gouvernement britannique.

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