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☘️  Source Celtique #2 ☘️ (Since~2013)

Bienvenue sur le blog Source Celtique #2 - Blog hommage, à Alan Stivell Cochevelou, retour sur les chemins de terre d'un Barde Breton..."kentoc'h mervel eget em zaotra"

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Fête des morts. En Bretagne, des pratiques anciennes rappellent celles d'Halloween (francetvinfo.fr / 31.10.21)

Publié le 3 Novembre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

Le 31 octobre c'est le jour d'Halloween, le temps où les enfants en profitent pour se déguiser et frapper aux portes pour collecter des bonbons. Bien que cette fête vienne d'Irlande, on retrouve en Bretagne des pratiques anciennes assez similaires selon l'ethnologue Fañch Postic.

 En Bretagne, on s'amusait à se faire peur en taillant des navets ou des betteraves fourragères • © J. Le Bot - France Télévisions

En Bretagne, on s'amusait à se faire peur en taillant des navets ou des betteraves fourragères • © J. Le Bot - France Télévisions

Le 31 octobre c'est Halloween, un jour où l'on aime se déguiser, se faire peur. Cette fête prend ses origines dans les pays celtiques comme l'Irlande. Là-bas, on célèbrait Samain, ce passage entre la fin de l'année et l'entrée dans une nouvelle année. Durant cette nuit, les Celtes pensaient que les frontières entre les vivants et les morts s'ouvraient. 

En Bretagne, des traditions similaires ont existé. Fañch Postic, ethnologue et spécialiste des pratiques populaires celtiques. Il a recueilli plus de 150 témoignages principalement dans le Finistère. Il évoque ces ressemblances, jusque dans la taille des légumes pour les décorations. "Dans la tradition bretonne au XIXème siècle, on avait  l'habitude d'utiliser des betteraves fourragères ou des navets qu'on creusait, dans lesquels on mettait des bougies. C'était surtout les jeunes qui faisaient cela pour faire peur. Ils attendaient les jeunes filles à un carrefour ou à une entrée de champ pour les effrayer à la nuit tombée".

Des chants de la Toussaint, de ferme en ferme

Comme pour Halloween, des groupes d'adultes allaient de maison en maison, de ferme en ferme, dans tout le sud de la Bretagne, de l'île de Sein jusqu'au pays vannetais. "Ils allaient chanter des cantiques, des chants de la Toussaint en pleine nuit, des chants assez terrifiants. On les faisait rentrer dans les maisons, on leur donnait de quoi manger. Une crêpe les attendait parfois et de l'argent, pour faire dire des messes pour les morts par la suite"

En Bretagne, il y a une familiarité avec le monde des défunts

Fañch Postic

D'autres points communs avec cette tradition celte apparaissent dans le Finistère. A commencer par le calendrier : deux saisons au lieu de quatre. La période claire qui commence le 1er mai et la période sombre qui commence le 1er novembre. C'est à ce moment qu'une porte s'ouvre vers l'au-delà. "La Toussaint c'est le moment où le monde des vivants et celui des morts 'an anaon' (les âmes, les morts ou les trépassés) communiquent. Les portes sont ouvertes pendant un certain temps. Les vivants peuvent aller voir de l'autre côté ce qu'il se passe, à leurs risques et périls. Et les défunts et autres êtres fantastiques peuvent venir dans le monde des vivants avec des intentions pas toujours louables. Donc il faut faire attention, ce sont des moments un peu dangereux". 

Si vous voulez en savoir plus, Fañch Postic recommande la lecture d'un grand classique de la littérature bretonne "La légende de la mort", d'Anatole Le Braz. 

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Du whisky contre le carbone : l'exemple des producteurs écossais (euronews.com / 01.11.21)

Publié le 1 Novembre 2021 par Source Celtique #2 dans Vidéos, Infos, Whisky

Les dirigeants du monde entier réunis à Glasgow pour la COP26 auront ces jours-ci l'occasion, pour ceux qui le souhaitent, de déguster les plus célèbres whiskies écossais.

L'un des plus prestigieux producteurs de whisky d'Écosse a cherché un moyen de réduire son empreinte carbone.

En 2018, la distillerie a abandonné les combustibles fossiles et s'est tournée vers un biocarburant à base d'huile de colza.

 
 

Callum Rew, directeur de la distillerie Oban : "On a obtenu un carburant de transition pour être neutre en carbone plus rapidement. Et on l'est depuis fin 2020. On voulait être les premiers à essayer de faire quelque chose et que les autres distilleries puissent en profiter. Le biocarburant était de nouveau et on voulait l'essayer, le tester. Ici, à Oban, nous sommes une petite distillerie, alors c'est peut-être plus facile d'essayer et de l'intégrer ici dans un premier temps."

Distiller du whisky peut avoir des conséquences sur l'environnement.

Le brassage nécessite à lui seul beaucoup d'énergie, sans compter le transport des bouteilles à travers le monde.

L'industrie a pris des mesures pour réduire cet impact environnemental.

 

Selon la Scotch Whisky Association, depuis 2009, les émissions de gaz à effet de serre ont diminué de 34 %.

Karen Betts, directrice générale de la Scotch Whisky Association : "C'est très important d'être une industrie durable dès à présent. Avec de la collaboration, de l'innovation, de l'investissement, de l'ingéniosité et un peu de temps, on peut y arriver d'ici 2040 et nous devons absolument le faire."

L'objectif zéro carbone en 2040 pour l'industrie du whisky écossais, c'est dix ans plus tôt que l'ambition globale que s'est fixée le gouvernement britannique.

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Aux Orcades, le régime aux algues des moutons fait saliver les climatologues (l'express.fr / 27.10.21)

Publié le 28 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

North Ronaldsay (Orkney) (Royaume-Uni) - A North Ronaldsay, minuscule île au large de l'Ecosse, les milliers de moutons ne se nourrissent que d'algues pendant l'hiver. Un régime unique qui d'après les climatologues réduit leurs émissions de méthane et pourrait aider à limiter la pollution de l'élevage.

 

Des moutons se nourrissent d'algues, sur l'île de North Ronaldsay, le 7 septembre 2021 au large de l'Ecosse  afp.com/Adrian DENN

Des moutons se nourrissent d'algues, sur l'île de North Ronaldsay, le 7 septembre 2021 au large de l'Ecosse afp.com/Adrian DENN

Une soixantaine de personnes vivent dans cette île de cinq kilomètres de long seulement, réserve naturelle entourée de plages rocailleuses aux eaux turquoises. 

Sur ce petit périmètre, il leur fallait jadis cultiver des légumes et nourrir quelques bovins. "Il n'y avait pas de place pour les moutons", raconte à l'AFP Scott Sinclair, agriculteur retraité et "personne âgée à plein temps", plaisante-t-il, qui a passé toute sa vie dans l'île. 

 

Pour les canaliser hors des routes et jardins, les habitants ont construit il y a plusieurs siècle des clôtures en pierres.

Coincés au bord des plages, les moutons à l'épaisse toison brune, beige ou noire ont appris à brouter ce qui leur tombait sous les sabots, à savoir des algues.  

S'ils ont encore de l'herbe à leur disposition pendant les mois d'été, à partir d'octobre, c'est leur seule option pour survivre jusqu'au printemps suivant. 

D'autres animaux, y compris les poneys de l'archipel voisin des Shetland, ou des biches près des côtes écossaises, mangent aussi des algues, mais pour les chercheurs, leur consommation exclusive par les moutons de North Ronaldsay est unique au monde. 

 

A 500 kilomètres plus au sud, à Dundee, à l'Est de l'Ecosse, Gordon McDougall, chercheur en science de l'environnement et en biochimie de l'institut James Hutton, explique que cela fait 20 ans que les scientifiques scrutent le régime des moutons des Orcades, l'archipel dont fait partie North Ronaldsay. 

- Comme des spaghettis - 

A l'heure de l'urgence climatique et à quelques jours du lancement de la conférence internationale COP26 à Glasgow, ce cas d'école pourrait changer la donne en matière d'élevage, l'une des industries les plus polluantes aux monde. 

En cause: les flatulences des animaux qui émettent du méthane. Un problème qui peut sembler vain ou saugrenu, mais pourtant crucial: le méthane est un gaz à effet de serre environ 30 fois plus puissant que le CO2, et vu la taille de l'industrie de la viande, c'est une question prioritaire pour les climatologues. 

"Il y a différents composants dans les algues qui interfèrent avec le processus dont le méthane est fabriqué par les bactéries qui sont dans l'estomac des animaux", détaille M. McDougall. 

A l'autre bout du monde, des chercheurs de l'université californienne UC Davis suivent la même piste que leurs homologues écossais. 

Dans une étude publiée en mars sur le site de l'institution, ils soulignent qu'"un peu d'algues dans l'alimentation du bétail pourrait réduire les émissions de méthane des boeufs de jusqu'à 82%". 

David Beattie, un autre chercheur de l'institut James Hutton en Ecosse, souligne qu'il y a "vraiment un gros mouvement au sein de l'industrie pour tenter de réduire l'empreinte climatique (...) Et je pense que les algues peuvent y contribuer". 

Il ne s'agit pas forcément de proposer un régime 100% à base d'algues comme celui des moutons de North Ronaldsay, mais plutôt d'un complément à l'alimentation traditionnelle bovine ou ovine. 

Les algues ne sont en effet pas disponibles pour l'instant en quantités suffisantes pour alimenter assez de bétail, note M. McDougall, ajoutant que prélever trop d'algues pourrait également avoir des effets nocifs sur les écosystèmes.  

Mais cette bonne source de minéraux, vitamines et et oméga pourrait remplacer en partie notamment le soja, produit à l'autre bout du monde et souvent au prix d'une déforestation dévastatrice pour le climat. 

"Nous devons absolument prouver: quel type d'algue est le meilleur, quelle quantité il faut donner pour avoir l'effet optimal. Après, on peut monter en puissance à une échelle qui aurait un impact sur toute l'industrie agricole britannique", conclut Gordon McDougall. 

A les voir avaler les plantes marines comme s'il s'agissait de délicieux spaghettis, on dirait que les moutons dodus de North Ronaldsay, pour leur part, ne s'en plaignent pas.  

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Sur cette petite île écossaise, les moutons se nourrissent d’algues (Ouestfrance.fr / 03.01.20)

Publié le 28 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

(capture d'écran)

(capture d'écran)

Des milliers de moutons vivent sur l’île de North Ronaldsay, en Écosse (Royaume-Uni). Au XIXe siècle, les hommes ont construit un mur pour les empêcher d’accéder à l’herbe à l’intérieur de l’île. Mais les ovins se sont adaptés et ont subsisté en se nourrissant d’algues sur la plage. Ils broutent à marée basse et ruminent à marée haute.

North Ronaldsay est l’île la plus au nord de l’archipel des Orcades, en Écosse.

 

Dans les années 1830, les habitants de North Ronaldsay, l’île la plus septentrionale des Orcades, l’archipel au large de la côte nord de l’Écosse, a dû faire face à l’effondrement de l’industrie du varech, ce mélange d’algues laissé par la marée. Toute l’économie insulaire était à repenser. Les hommes ont dû se tourner vers l’agriculture et l’intérieur des terres.

Mais pour exploiter l’intérieur de l’île, il fallait en éloigner les moutons, nombreux à peupler cette petite île de seulement 7 kilomètres carrés. Les insulaires ont donc bâti un grand mur d’enceinte, de 2 mètres de haut, long de 19 kilomètres, faisant le tour de l’île, pour contraindre les animaux à rester sur le littoral.

Les habitants de North Ronaldsay ont peu à peu déserté l’île, au fil des décennies, passant de 500 résidents lors de la construction du mur à une cinquantaine seulement aujourd’hui. Les moutons, eux, sont restés.

Leur système digestif s’est adapté

Ce troupeau sauvage, livré à lui-même sur son bout de plage, a dû se nourrir, sans avoir accès à l’herbe à l’intérieur des terres. Il s’est donc tourné vers l’unique organisme se rapprochant de végétaux auquel il avait accès : les algues.

Génération après génération, cette race de moutons à queue courte a réussi l’étonnant tour de force de s’adapter à ce changement d’environnement. Au point de se nourrir désormais presque exclusivement d’algues, qui ne faisaient pourtant pas partie de son régime alimentaire auparavant.

Hormis l’iguane marin, originaire des îles Galapagos (Équateur), c’est le seul animal terrestre connu à avoir un tel régime.

Le système digestif des moutons de North Ronaldsay se serait en fait adapté, de même que leur organisme, qui n’assimile plus le cuivre de la même façon que chez les autres races d’ovins. Aujourd’hui, ces bêtes s’empoisonneraient désormais si elles devaient se nourrir majoritairement d’herbe, où le cuivre se trouve en grande quantité.

Les moutons se sont également adaptés au rythme de la mer. Ils broutent à marée basse, puis ruminent à marée haute, afin d’éviter de se retrouver bloqués.

Une large muraille de 2 mètres de haut a été bâtie en 1832, faisant tout le tour de l’île. (Photo : Wikimédia Commons)

 

La clé pour un élevage plus vert ?

Ce régime peu commun donnerait à leur viande une saveur particulière, en faisant une race particulièrement prisée. De la viande de mouton North Ronaldsay a ainsi été servie à la reine d’Angleterre lors de son jubilé de diamant. Cette viande pourrait aussi bientôt obtenir le statut d’indication géographique protégée (IGP) de l’Union européenne, comme le fromage Wensleydale et les pommes de terre royales de Jersey, rapporte la chaîne de télévision britannique BBC.

Mais ces étonnants moutons pourraient surtout offrir des clés pour imaginer une méthode d’élevage plus écologique. En effet, des études ont montré que le bétail ayant des algues dans son alimentation rejette beaucoup moins de méthane que les autres.

Les algues pourraient donc être une solution pour réduire l’empreinte carbone des troupeaux. Un effort indispensable quand on sait qu’une vache produit, en un an, presque autant de gaz à effet de serre qu’une voiture brûlant 1 000 litres d’essence.

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Tempête Aurore : neuf départements de Bretagne, de Normandie et des Hauts-de-France en vigilance orange (francebleu.fr / 20.10.21)

Publié le 20 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

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Tout savoir de Samain, la fête celte à l'origine d'Halloween (Bretagne.com / 22.10.20)

Publié le 18 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

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Irlande : cent ans de partition et un nouvel espoir de réunification (lemonde.fr / 01.10.21)

Publié le 16 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

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Cueillettes d'Automne

Publié le 5 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos, Vidéos

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Le naufrage inexpliqué du Bugaled Breizh devant la justice britannique (nr.fr / 04.10.21)

Publié le 4 Octobre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

Épave du "Bugaled Breizh" à Brest, le 13 juillet 2004, 6 mois après le drame © AFP/Archives

Épave du "Bugaled Breizh" à Brest, le 13 juillet 2004, 6 mois après le drame © AFP/Archives

La justice britannique a commencé à se pencher lundi sur le mystérieux naufrage du Bugaled Breizh, un chalutier français qui avait sombré en moins d'une minute en 2004 au large de l'Angleterre, emportant par le fond ses cinq membres d'équipage.

 

Près de 18 ans après la tragédie, cette enquête publique, prévue devant la Haute Cour jusqu'au 22 octobre à Londres, nourrit l'espoir des familles des cinq marins bretons d'enfin connaître la vérité.
Depuis le début, elles estiment que le chalutier a coulé après avoir été accroché par un sous-marin militaire: il se trouvait dans une zone où se déroulaient des exercices militaires de l'Otan et de la Royal Navy.
"Si le ministère de la Défense britannique ou l'Otan dit +on a couvert des choses effectivement, on s'excuse et on règle l'affaire+, moi je rentre à la maison, je n'embête plus personne et vous n'entendrez plus jamais parler de moi", a confié le fils d'un des marins, Thierry Lemétayer, regrettant que le secret-défense ait toujours été opposé aux familles.
L'hypothèse du sous-marin n'a jamais pu être confirmée par la justice française au terme d'une très longue procédure, non concluante.
Parmi les dizaines de témoignages prévus durant les trois semaines d'audience - marins, secouristes, experts maritimes, militaires -, il y aura celui, le 12 octobre, de l'ancien commandant du sous-marin nucléaire britannique HMS Turbulent, Andrew Coles, bâtiment soupçonné d'avoir joué un rôle dans le naufrage.
Le 15 janvier 2004, le Bugaled Breizh ("Enfants de Bretagne" en breton), un chalutier de Loctudy (Finistère), avait sombré en moins d'une minute dans des conditions météorologiques plutôt bonnes, au large des Cornouailles (sud-ouest de l'Angleterre). L'équipage avait été emporté par le fond.
Seuls les corps de Patrick Gloaguen, Yves Gloaguen et Pascal Le Floch ont été retrouvés - le premier dans l'épave lors de son renflouement, les deux autres dans les eaux britanniques - et c'est sur la mort de ces deux derniers que se concentre l'enquête britannique. Georges Lemétayer et Eric Guillamet ont été portés disparus en mer.

 

"Vérité", pas "vengeance"


L'objectif de la procédure au Royaume-Uni est d'éclaircir les causes des décès, inexpliqués, sans toutefois prononcer de condamnations.
"Les familles des victimes sont des familles de marins et elles ne pourront construire un deuil que quand elles sauront comment sont morts leurs proches", a confié à l'AFP Dominique Tricaud, avocat des familles.
"On ne peut pas construire un deuil sans savoir et sur des mensonges", a-t-il ajouté. "Les familles ne sont pas dans un esprit de vengeance, les familles sont dans un esprit de vérité. Nous ne voulons envoyer personne en prison, nous n'attendons pas d'argent de ce procès, nous voulons simplement que soit admis que l'armée britannique est responsable du naufrage du Bugaled Breizh".


Le ministère britannique de la Défense et la Royal Navy ont démenti toute implication d'un sous-marin britannique.
En 2016, la justice française avait définitivement mis fin à son enquête dans cette affaire, incapable de trancher entre l'hypothèse d'un sous-marin et celle, mise en avant dix ans plus tôt par le Bureau français d'enquêtes (BEAmer), d'un accident de pêche. D'autres hypothèses avaient été évoquées puis abandonnées, comme la collision avec un cargo.
En Angleterre, une procédure avait été lancée devant la justice britannique, à Truro en Cornouailles, en raison des deux corps ayant été repêchés par les Britanniques. Elle avait été ajournée en 2020 en raison notamment de la pandémie, avant d'être transférée à Londres.
Lors d'une audience préliminaire en mars, le juge chargé de l'affaire, Nigel Lickley, avait assuré qu'il mènerait une "enquête complète, rigoureuse et juste".

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Pendant ce temps la, à la pointe du Raz

Publié le 17 Septembre 2021 par Source Celtique #2 dans Infos

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