Bienvenue sur le blog Source Celtique #2 - Blog hommage, à Alan Stivell Cochevelou, retour sur les chemins de terre d'un Barde Breton..."kentoc'h mervel eget em zaotra"
Publié le 7 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Vidéos, Musiques
Publié le 7 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Radio, Infos
Les Druides de Bretagne "extrêmement choqués" par les accusations de mutilations de chevaux
Dans un communiqué, la Gorsedd, la fraternité des druides, ovates et bardes de Bretagne, réfute les accusations de mutilations de chevaux. Elle rappelle que sa philosophie implique le respect du...
Publié le 7 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Vidéos, Musiques
Publié le 6 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Radio
Le magazine des musiques traditionnelle, folk, world ou apparentées. L'EMISSION a pour but de diffuser, sous tous ses aspects et toutes ses formes d'expressions, la musique traditionnelle du monde (appellation préférable au terme anglo-saxon de world-music). Cette musique encore trop souvent marginalisée et presque inexistante dans les médias. Les auto-productions, et les petits labels, sont diffusés en priorité. Un disque d'une "major" sera programmé, en fonction de son intérêt ou de notre appréciation.
1) 12H00/13H00 : 1 invité ou 1 sujet (en relation avec l'actualité musicale);
2) 13H00/14H00 : Les nouveautés discographiques; appuis de concerts ou de festivals; un autre invité ou la continuité de la première heure; diffusions d'extraits de concerts; le parcours d'un musicien, l'historique d'un groupe; présentation musicale d'un pays, d'une région, d'un style; présentation des différents styles d'un instrument à travers le monde;
Depuis le 16 septembre 1984, plusieurs centaines d'invités ont été reçus : des plus grands professionnels aux plus passionnés des amateurs. "Folk à Lier" le magazine de la musique traditionnelle est devenu, à l'image de Radio Libertaire, une émission incontournable et le reflet de ceux qui font vivre et se passionnent pour cette musique.
Publié le 6 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Infos, Musiques, Radio
En Irlande, Galway, capitale européenne de la culture moins européenne que prévue
Traditionnelle capitale irlandaise des festivals et cette année, capitale européenne de la culture, Galway s'attendait à une saison exceptionnelle. Mais le coronavirus a réduit drastiquement la...
Publié le 6 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Musiques, Vidéos
Publié le 4 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Poésie, Vidéos, Musiques
Publié le 1 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Musiques, Vidéos
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Publié le 1 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Infos, Vidéos
Irlande : un témoin capture des images époustouflantes d'une tornade aquatique | Guide Irlande.com
Un phénomène fascinant rarement observé Une trombe d'eau d'une grande rareté a été immortalisée par un témoin en Irlande. Le phénomène, pour le moins époustouflant, s'est déroulé à pr...
Publié le 1 Septembre 2020 par Source Celtique #2 dans Infos
Environ 120 chats sauvages des Highlands sont présents en Grande-Bretagne. Photo Tom Langlands Photography
Retrouvez la chronique «Age bête», le rendez-vous animal de Libération.
Comme le monstre du Lochness ou la licorne, le chat sauvage des Highlands fait partie intégrante du bestiaire écossais. Reconnaissable à sa queue particulièrement touffue et son gabarit massif, le Felis silvestris grampia est aussi le mammifère le plus en danger du Royaume-Uni, selon une récente classification de l’organisme Mammal Society. Vivant désormais principalement dans le nord de l’Ecosse, seules quelques dizaines de ces félins seraient encore en vie. La faute à des décennies de chasse, de détérioration de leur habitat naturel mais aussi d’hybridation avec des chats domestiques. Pour David Barclay, de la Royal Zoological Society of Scotland (RZSS), «c’est un symbole de la nature sauvage, une espèce solitaire capable de survivre dans les rudes conditions climatiques des Highlands».
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Son caractère insaisissable et noctambule lui donne ainsi une aura presque mystique. «On en parle beaucoup mais peu de personnes ont eu la chance d’en voir un.» Sur Facebook, un groupe dédié permet à plus d’un millier de personnes de partager images et anecdotes à son sujet. Le félin est aussi l’emblème du clan Chattan, dont la devise «Touch not the cat bot a glove» («Ne touchez pas au chat sans gant») fait référence à la férocité de l’animal.
Outre sa résonance culturelle, sa disparition affecterait tout un écosystème. «Le chat sauvage joue un rôle important en tant que carnivore, explique le conservateur animalier. Nous devons trouver un équilibre au sein des espaces naturels [de la région].» Créé en 2019 à la suite de précédentes missions, le projet Saving Wildcats sur lequel travaille David Barclay a pour but de multiplier la population de ces félins et de les réintroduire dans leur milieu naturel. «Nous nous sommes rendu compte que la situation était encore plus critique que ce que nous pensions, explique-t-il. Sans effort de notre part, l’espèce pourrait s’éteindre dans les années à venir.»
Financé par l’Union européenne à hauteur de 3,5 millions d’euros sur six ans, le projet réunit l’expertise de multiples organismes spécialisés dans la conservation d’espèces animales, de la Suède à l’Espagne. Objectif : la réintroduction de premiers chats sauvages dans les Highlands d’ici 2022. Aux dernières nouvelles, le Brexit ne devrait pas en impacter la faisabilité. Caméras installées en pleine forêt, capture de chats errants, tentatives de reproduction dans des zoos et espaces naturels… Les activistes de l’île redoublent donc de patience et d’énergie pour accroître les chances de développement de l’animal. «La coopération avec la population est indispensable, souligne David Barclay. On peut parler de l’hybridation comme étant presque le dernier clou sur le cercueil du chat sauvage.» Des campagnes de stérilisation et de vaccination sont régulièrement organisées dans ce sens dans les zones à risque.
Des efforts qui semblent porter leurs fruits : trois chatons sont finalement nés au printemps dans la réserve sauvage d’Alladale, propriété du philanthrope écossais Paul Lister. «C’est une réussite, nous avons désormais une population de 120 animaux [en Grande-Bretagne], se réjouit David Barclay. Cette année a été une très bonne saison en termes de reproduction. Nous pouvons désormais les placer en captivité pour ensuite les relâcher.» Pour accélérer le processus, le projet Saving Wildcat Action s’apprête à franchir une nouvelle étape en créant prochainement un espace spécialement dédié à la reproduction à Kincraig, dans les Highlands. «Quand les chatons seront assez âgés, ils auront ainsi plus d’espace et de moins en moins de contacts avec les humains. Nous voulons les préparer au mieux à la vie sauvage, explique David Barclay, avec le souhait d’enfin établir une population viable pour les générations à venir. Si nous nous préoccupons vraiment de l’état de notre faune, nous devons faire tout notre possible pour protéger ces animaux.»